Ballon d'occis gène
TOKYO (AFP) - Une lettre accrochée à un ballon volant par une écolière
japonaise lui est revenue quinze ans plus tard par les grâces d'un
poisson, pêché dans l'Océan Pacifique et sur lequel le courrier s'était
collé.
Un pêcheur a trouvé la lettre collée sur un poisson plat (un pli sur une plie quoi. Et qui n'a pas mis le turbo pour se barrer !) qu'il
venait d'attraper dans ses filets, à 1.000 m de profondeur dans la
mer (incroyable ! un poisson dans la mer).
Du courrier encore lisible (écrit à l'encre de seiche ?! On peut constater sur la photo que le poisson avait même traduit la lettre en braille), le pêcheur a compris qu'il avait
été envoyé par une enfant de 6 ans à l'occasion de l'anniversaire de
son école. (J'ai quelque peu remanié la lettre pour plus de réalisme) "Note écol a 120 zan... Si vou trouvé séte
létre, s'i vou plé écrivé-mois", disait la lettre datée de 1993 et
où figurait l'adresse de l'établissement, situé à Kawasaki, à 150
km de l'endroit où a été pêché le poisson.
Comme ses camarades de
classe, l'écolière avait attaché ce courrier à un ballon (salopes ! un ballon en plastique avalé par une pôvre tortue innocente, assurément ! Elle aurait pu balancer son mot directement sur un poisson volant) lancé dans les
airs en espérant qu'il lui serait renvoyé.
La petite écolière (à la robe "plissée"),
devenue une coquine qui vend ses petites culottes sur internet étudiante de 21 ans, a expliqué à la télévision Asahi
qu'elle ne s'attendait pas "à recevoir une réponse de cette manière".
C'est sûr, au pêcheur odorant elle aurait sûrement préféré prendre dans ses filets un prince charmant qui aurait avalé de travers son sushi de turbo fourré au pli voyageur.
C'est nul finalement cette histoire...